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It all started Monday with a YouTube question. Barack Obama was asked if he would like to start speaking with such polarizing figures as Venezuelan president Hugo Chavez or even with Cuban Leader Fidel Castro. Obama said he would (his advisers should just warn him that Chavez said he would expel from Venezuela any foreigner who criticizes him). Hillary Clinton said she would only meet with such leaders after lower-level diplomatic spadework is completed. Soon after the debate the Clinton camp called Obama “irresponsible and naive”. Obama countered today and compared Clinton’s foreign policy to Bush’s. At the same time , the Illinois Senator he would also have aides doing the groundwork before meeting the leaders of Iran, Syria, North Korea, Cuba and Venezuela. As we could see on Monday during the YouTube debate, the presidential campaign might have a new format but politicians remain the same.
Tout a débuté lundi soir avec une question posée sur YouTube. Un internaute avait demandé à Barack Obama s’il était prêt à rencontrer des leaders décriés comme Hugo Chavez, le président vénézuélien, ou même Fidel Casro, le leader cubain. Obama a dit qu’il le ferait (ses conseillers devraient simplement le prévenir qu’Hugo Chavez a menacé cette semaine de renvoyer de son pays tout étranger qui le critiquerait). Hillary Clinton a pours sa part affirmé qu’elle ne rencontreraitces chefs d’Etat qu’après avoir effectué un important travail diplomatique en amont. A peine le débat était-il terminé qu’Hillary Clinton qualifiait Obama d’irresponsable et de naïf. Obama a contré aujourd’hui et a comparé la politique étrangère d’Hillary à celle de George Bush. Le Sénateur de l’Illinois a par ailleurs relativisé sa propre déclaration en affirmant qu’il enverrait lui aussi ses diplomates avant de rencontrer les leaders nord-coréen, syrien, iranien, cubain ou vénézuélien. Nous avons pu nous en rendre compte: la campagne présidentielle américaine a peut-être un nouveau format puisqu’elle se déroule désormais principalement sur internet, mais les politiciens restent eux les mêmes.